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FIN

En novembre, le groupe repasse jouer en France. Lors du concert à Clermont-Ferrand, Rudolf se blesse la cheville. Il doit terminer le concert de façon statique, et le groupe chamboule sa setlist, de façon totalement improvisée. Le malheur du guitariste aura finalement rendu ce show unique.

- 2008 : En janvier sort le troisième volet attendu d’Avantasia, le célèbre metal opéra de Tobias Sammett, le chanteur d’Edguy. Comme sur chaque album d’Avantasia, différents chanteurs et musiciens metal sont réunis pour interpréter les morceaux. Dans ce nouvel opus, Sammett réussit à faire participer deux de ses héros d’enfance : Alice Cooper et... Rudolf Schenker ! Le six-cordiste de Scorpions joue sur la chanson I Don’t Believe in Your Love.

Le groupe promeut son nouvel album en tournée à travers le monde. La Russie découvre une setlist assez inédite, avec le retour de chansons de Face the Heat, du vieux single Hey You (chanté par Rudolf) et de la splendide ballade Living For Tomorrow (dédiée à la Russie à l’origine). Les Scorpions inaugurent à cette occasion un solo de batterie... à dix mains.

Ils jouent à nouveau en France, à Strasbourg. La veille, un passage à la télévision française ravive les vieilles douleurs de 1993. En effet, Scorpions joue à l’émission d’avilissement musical Star Academy... Une prestation en semi play-back dans un programme en pleine déperdition... le management a encore fait des siennes...

Une polémique n’arrivant jamais seule, Scorpions se retrouve en décembre au centre d’une nouvelle controverse, bien involontairement cette fois. La page relative au groupe dans la version britannique de l’encyclopédie Internet Wikipedia se retrouve bloquée en raison, une nouvelle fois, d’une attaque des censeurs moralistes toujours décidés à ne pas laisser le heavy-metal tranquille, contre la pochette de Virgin Killer. Attaque qui s’achève d’ailleurs par une cuisante défaite pour eux, puisque devant le tollé en faveur de Scorpions, du metal et de la liberté artistique, la page prise en otage est libérée quelques jours plus tard... et est devenue au passage la page Wikipedia la plus lue dans le monde. ;-D

- 2009 : L’année commence par la remise d’un Echo d’honneur à Scorpions aux Echo Musik Awards (équivalent allemands de nos Victoires de la Musique).

Un nouvel album est annoncé. Peu d’informations filtrent, mais il semblerait, d’après ce qu’Herman Rarebell nous a dit, que l’on s’achemine vers un nouveau retour aux sources, avec participation du légendaire batteur.

  

Le disque sort le 14 mai en France, soit 11 jours avant le reste du monde. Un nouveau privilège accordé aux fans français. Pour la première fois Scorpions sort un concept-album. Son thème : l’autodestruction de l’Humanité et son renouveau. A l’écoute de l’album, on se rend compte que le retour aux sources laissé entrevoir à Bruxelles n’est pas tout à fait assumé. Au lieu de continuer dans la lignée des compos d’Unbreakable, à savoir des morceaux typiques, le groupe a laissé les commandes à toute une série de compositeurs extérieurs. Desmond Child signe 11 des 12 chansons, alors que Rudolf ou Klaus n’en signent que 4. C’est inédit dans l’histoire de Scorpions. Résultat : des compos mélangeant des influences diverses, telles que l’indus ou le prog, ce qui divise les fans, sans pour autant les révulser comme avec un Eye II Eye.

Au moment même de la sortie de Humanity Hour 1, le groupe fait la tournée des Zénith en France. Et il emmène une fois de plus Uli Roth dans ses valises, ce qui donne l’occasion aux chanceux qui ont pu se payer la place (45€ prix minimum, 60€ à Paris... polémique, polémique...) d’entendre Fly to the Rainbow live, plus jouée par le groupe depuis 29 ans.